TAKEYO - fiche personnage
Takeyo Oniwaban
audace
Premier passage :
Né en 1861 (Ere Edo). Je suis le dernier enfant de Mugen et Kaoru Oniwaban. J'ai 17 ans en 1878 (Ere Meiji). J'ai un grand frère, Aoshi (20 ans) et deux grandes sœurs, Sayo (22 ans) et Mégumi (18 ans). Mon père est mort quand j'avais 2 ans. Ma mère est morte quand j'avais 9 ans. C'est Tsubamé qui m'a élevé, je suis son chouchou.
Je suis parti à 20h rejoindre mes amis au bar Gorotsuki. Pour cela je suis passé par la porte de derrière, Rue des Canards sauvages, puis par la rue de la clé. J'ai ensuite suivi le chemin du Nord puis j'ai tourné à droite pour arriver au bar.
Deuxième passage :
Watsuki est arrivé vers 21h45 au bar et je l'ai vu partir vers 22h20. Je lui trouve l'air tout le temps triste et en même temps féroce. Si j'étais plus entraîné, je le défierais, juste pour voir…
Hier, j'étais avec mes copains du quartier des Hishi-Manji. On est partis un peu après Watsuki. On est allés au Dojo Kamiya en passant par le chemin du Grand Pont puis la Rue de l'abattoir et on s'est entraînés au sabre. Je me suis fait battre deux fois, je suis dégoûté. Tout ça c'est la faute d'Aoshi. Il ne veut pas m'entraîner, il est trop occupé à faire les yeux doux ! Oh, je ne sais pas à qui, mais en tout cas quand il dit qu'il va chez le forgeron… mon œil !
Je n'ai pas vu Sanosuké du côté du Dojo Maekawa. A croire qu'il a tracé comme une flèche ou qu'il était carrément ailleurs. Par contre on a aperçu la fille qu'ils ont trouvée sur leur paillasson, je ne sais plus son nom. Elle avait l'air drôlement perdue. C'est bizarre, elle me rappelle quelqu'un…
Troisième passage :
Je suis rentré à la maison vers 22h45. J'ai bien entendu Tsubamé faire du raffut à propos d'un cambrioleur, mais quand j'ai regardé dehors, tout ce que j'ai vu, c'était cet idiot de Sanosuké Sekihotaï qui sortait en boitant de la rue de la rue du Cochon grillé. Un quart d'heure plus tard, j'ai entendu des miaulements mais ce n'était pas un de mes amis (c'est notre cri de ralliement), juste le chat du marchand d'estampes. J'ai refermé la fenêtre et ensuite y'a eu un bruit de casse, mais je ne me suis pas relevé. Tsubamé a sans doute fini par dégommer quelqu'un.
La vie est vraiment monotone dans le Fief d'Aizu, à part la guerre avec les Sekihotaï et encore, ya que Aoshi pour être à fond. Même mes copains du quartier des Hishi-Manji ne sont pas vraiment passionnants. En plus le dojo Kamiya sent le renfermé depuis que maman ne donne plus de cours… Mais moi, un jour, je partirais à Kyoto et je me trouverai un maître en sabre… peut-être bien Kenshin Ruruni… puis je reviendrais et je montrerai à Aoshi ce que je vaux vraiment !
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