Sous le Mohwa

MARTHA Bjelke

Signe particulier : menus, cuisine (feux, nourriture sauvage)

Premier passage :

Née en 1823.

Finlandaise.

Sœur aînée de Hans, veuve.

Elle est franche, déterminée et chaleureuse (excepté en ce qui concerne Axel).

Elle pense que le cœur de la terre est une énergie révolutionnaire.

Accessoire indispensable : un panier avec toujours des biscuits ou un truc à manger.

Elle a 40 ans en 1863 et habite au 324 rue de la Tour Eiffel avec Sophie et Axel, le professeur Otto Lidenbrock dont elle est la servante (elle ne supportait pas d’habiter au 6bis impasse du Cheval Blanc d’Henri Quatre avec son frère : l’appartement est trop mal aéré et elle a de l’asthme). D’autre part son chat ne s’habituait pas aux toilettes communes. Le professeur est resté à la Sorbonne au retour du voyage (voyage idiot par ailleurs, beaucoup trop de linge à laver). Pendant leur absence, elle a cherché une nouvelle façon de faire cuire les gâteaux par combustion spontanée.

Son avis sur Axel : devrait retourner à l’école et ne s’essuie jamais les pieds sur le paillasson. Son mari est mort au combat et elle trouve Axel vraiment irresponsable par rapport à son cher Hippolyte.

Deuxième passage :

         Hier soir elle a passé plus d’une heure à faire des blettes aux poireaux le repas préféré de Hans avec de la panse de brebis farcie. Mais elle n’a pas fait de thé car Sophie s’est proposée de le faire à sa place, la gentille fille. Mais il n’y avait pas assez de sucre, c’était un peu amer. Enfin, c’était la première fois, elle lui apprendra. Elle a bien remarqué que les filles se fritaient à table. Après le repas, Axel n’a fait que bailler, le mal poli. Tout le monde était fatigué, même Monsieur Phileas qui est pourtant bien mieux élevé qu’Axel.

Troisième passage :

         Cette nuit, elle s’est réveillée en sursaut quand un ours lui est tombé dessus. Enfin, un ours, c’était peut-être un cerf, ou un blaireau. Elle dort à l’écart car les autres prétendent qu’elle ronfle, ce qui est faux. D’ailleurs elle est malade, elle a de l’asthme, alors… Il faudrait qu’elle se soigne, avec plein de bons gâteaux cuits à point. Il lui faudrait un four particulier, moderne, peut-être atomique et révolutionnaire. Elle ne s’est pas rendormie tout de suite. Elle a regardé sa montre, c’était environ 3h30 et elle a vu que Aouda s’en allait du camp.

Ce que tu essaies de leur faire deviner :

         Tu as fouillé les affaires de Sophie pendant la nuit dans l’espoir de trouver la carte (que tu n’as pas trouvé) pour pouvoir aller chercher seule le cœur de la terre et pouvoir construire ton four.