Sous le Mohwa

AXEL Grauben

Signe particulier : étoiles, météo, musique

Premier passage :

Né en 1839.

Allemand.

Assistant du Professeur Otto Lidenbrock qui a trouvé un passage vers le centre de la terre.

Il est claustrophobe,  a le vertige mais il est courageux. Ramasse toujours tous les papiers qui traînent.

Il pense que le cœur de la terre est un… il ne veut pas le savoir.

Accessoire indispensable : un thermomètre.

Il a 24 ans en 1863 et habite 324 rue de la Tour Eiffel avec le professeur et sa fille Sophie, ainsi que la bonne, Martha. Il est à l’école militaire et pendant ses permissions il travaille avec le professeur. Il revient d’être allé au centre de la terre avec le professeur, Sophie et Hans. Il a détesté le voyage. Le professeur est resté à la Sorbonne. Axel est amoureux de Sophie Lidenbrock mais tous les deux n'arrêtent pas se taquiner : Axel accuse toujours Sophie d'être trop indépendante (genre elle serait plus heureuse sur une île déserte) et elle passe son temps à lui rappeler qu'il est maladroit et naïf.

Deuxième passage :

         Avant le repas, hier soir, il était avec Sophie dans les bois et l’aidait à ramasser des plantes pour le thé, surtout du rhododormon, une plante très utile pour la saveur existentielle du thé. Après il a mangé et le repas était très tendu, il a bien remarqué que Sophie et Aouda se sont disputées. Ensuite, après le thé qui était bien bon (évidemment, c’est Sophie qui l’avait préparé, c’est pas comme Martha qui met des trucs au « Thym » !) il s’est allongé parce qu’il était super fatigué et il a regardé les étoiles en écoutant Charlotte et Sophie discuter.

Troisième passage :

         Juste avant de s’endormir il a entendu Phileas dire « tu te rends compte il est 22h12 » et il se rappelle avoir pensé « quel blaireau ce mec, c’est une horloge ambulante » puis il a aperçu une ombre dans les buissons, quelqu’un qu’il ne connaissait pas. Il a essayé de le dire à Sophie mais elle ne s’occupait pas de lui mais elle regardait fixement Charlotte et il était vraiment trop fatigué et il s’est endormi. Trop bizarre, car ils s’étaient tous reposés cette après-midi là.

         Ce matin, il s’est levé tôt, le premier selon son habitude (c’est normal pour un militaire) et il a nettoyé le camp : beaucoup trop de papiers qui traînent ! D’ailleurs même Hans s’en était aperçu car il furetait partout. Remarque, il avait peut-être perdu son porte-bonheur en laine de mouton…